La Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou (CCVHA) encourage la préservation et la restauration des mares sur son territoire.
Demander une prise en charge des travaux de restauration de mares
Grâce au financement de la Région Pays de la Loire, du Département de Maine-et-Loire et de l’intercommunalité, la CCVHA prend en charge à 100% les travaux de restauration de mares (dans la limite de 15 mares par an).
Les travaux de restauration d’une mare pris en charge par la CCVHA concernent le curage, le reprofilage, le débroussaillage, l’abattage, l’élagage et le rognage.
Les critères d’éligibilité
- Être propriétaire d’une mare sur le territoire de la CCVHA
- La mare doit être située dans l’espace rural (prairie, culture, friche, boisement)
- La mare doit être dans un état dégradé. Elle doit être d’une superficie inférieure à 500 m² et être déconnectée d’un cours d’eau
La prise en charge
- Candidature du 1er septembre au 31 novembre de l’année N pour une réalisation à l’automne N+1
- Sélection des projets entre janvier et février de l’année N+1
Le formulaire de prise en charge ci-dessous doit impérativement être complet et remis dans les temps afin d’être étudié. Tout dossier incomplet ne sera pas étudié.
Pour toute demande de renseignements, contactez l’association EDEN 49, maître d’ouvrage et partenaire de la CCVHA dans le cadre des travaux de restauration des mares au 02 41 77 07 59 ou par mail à a.rousseau@eden49.com
Un programme de restauration des mares efficace pour préserver la biodiversité
La CCVHA continue de déployer son programme de restauration des zones humides et, en 2024, a remis en état 13 mares. Grâce à ses actions, la faune et la flore reconquièrent peu à peu ces espaces.
Ces travaux s’inscrivent dans le plan d’actions « Territoire Engagé pour la Nature » des Vallées du Haut-Anjou (2021-2024) reconnu par l’Office Français de la Biodiversité, ainsi que dans le nouveau dispositif du Contrat Territorial Eau (CTE) des Basses Vallées Angevines et de la Romme (2024-2026). Ce programme triennal sera financé à 45% par le Conseil départemental de Maine-et-Loire et 35% par la Région Pays de la Loire.